Le loup dans la nature

En France comme dans d’autres pays, le loup a un statut d’espèce strictement protégée, que nous disons ambigüe car sans être une espèce animale en voix de disparition. Le pire c’est que la France a signé cette convention, mais elle autorise un ou deux tirs par an. Nous ne tenons pas à chagriner les anti-loups, ni qui que ce soit, mais juste remettre les choses en place. On ne peut être signataire d’un traité comme celui de Berne et demander des dérogations pour abattre des loups, sachant pertinemment que cela peut engendrer des conséquences graves. Il faut que cesse cette pratique qui consiste à détruire la faune, la flore sans aucun respect; permettant ainsi à l’homme de s’installer. Argent et politique ne font jamais très bon ménage. Nous ne souhaitons qu’une chose, que des mesures soient prises pour le bien de tous et de notre ami le Canis Lupus

Et nous ne parlerons pas du braconnage organisé et de l’empoisonnement des loups, dénoncé par le WWF (Word Wildlife Fund : Fond mondial pour la vie sauvage)

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Les Etats membres du Conseil de l’Europe et les autres signataires de la présente Convention.

Considérant que le but du Conseil de l’Europe est de réaliser une union plus étroite entre ses membres;

Considérant la volonté du Conseil de l’Europe de coopérer avec d’autres Etats dans le domaine de la conservation de la nature. Reconnaissant que la flore et la faune sauvages constituent un patrimoine naturel d’une valeur esthétique, scientifique, culturelle, récréative, économique et intrinsèque, qu’il importe de préserver et de transmettre aux générations futures. Reconnaissant le rôle essentiel de la flore et de la faune sauvages dans le maintien des équilibres biologiques.

Constatant la raréfaction de nombreuses espèces de la flore et de la faune sauvages et la menace d’extinction qui pèse sur certaines d’entre elles. Conscients de ce que la conservation des habitats naturels est l’un des éléments essentiels de la protection et de la préservation de la flore et de la faune sauvages. Reconnaissant que la conservation de la flore et de la faune sauvages devrait être prise en considération par les gouvernements dans leurs objectifs et programmes nationaux, et qu’une coopération internationale devrait s’instaurer pour préserver en particulier les espèces migratrices. Conscients des nombreuses demandes d’action commune émanant des gouvernements ou des instances internationales, notamment celles exprimées par la Conférence des Nations Unies sur l’environnement, de 1972, et l’Assemblée Consultative du Conseil de l’Europe. Désireux en particulier de suivre, dans le domaine de la conservation de la vie sauvage, les recommandations de la Résolution n° 2 de la deuxième Conférence ministérielle européenne sur l’environnement »

A signaler que la France n’a signé ce traité qu’en 1990, ainsi que la Belgique.

En savoir plus sur http://www.franceloups.fr/#eLwsBc1SoutzPfMM.99

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